Je me suis retrouvée en Droit un peu par hasard, après un échec dans une autre filière. Je recherchais un domaine qui pourrait me garantir des débouchés variés. Et le Droit offre beaucoup de possibilités futures, car le Droit touche et concerne beaucoup de milieux. Il m'a semblé que le Droit représentait un atout peu importe que je choisisse un métier lié à ce domaine ou non.
Je n'ai pas de projet professionnel précis, mais l’intérêt du Droit ne se limite pas au milieu professionnel. C'est un atout dans la vie de tous les jours, car cette formation nous donne des outils pour mieux comprendre le monde dans lequel on vit. Aussi bien sur un plan historique, légal, politique, qu'au niveau des structures dans lesquelles nous évoluons. Ce côté polyvalent était un point important dans ma prise de décision.
La rigueur a été le principal challenge pour moi. Comme beaucoup de formations, le Droit demande beaucoup d'implications et d’endurances ^^. Il est donc important de s'organiser, d'apprendre à trouver d'autres sources que notre cours pour approfondir nos connaissances. C'est d'ailleurs une qualité que l'université nous pousse à développer. Il faut savoir être autodidacte et utiliser les outils qui sont mis à votre disposition pour nous immerger dans la discipline qu'on a choisie.
Mon intérêt pour l'Histoire m'a beaucoup aidé à me repérer dans les différents cours et à intégrer la masse de connaissances qu'on nous demande d'intégrer. De bonnes bases en Histoire est un véritable atout dans cette formation. Pour comprendre le Droit aujourd'hui il est important de connaître son évolution. La première année de Droit consacre une grande importance à cette histoire.
Ayant connu l'échec et la réorientation, je sais ce que c'est que de toucher le fond et de devoir reprendre confiance pour continuer d'avancer. J'ai dû envisager de nouvelles perspectives et recommencer à partir de zéro, c'est un processus déroutant que je connaît. Je pense que c'est un atout important pour conseiller et répondre au mieux aux questions des étudiants.
Comme je suis titulaire d'un BTS design d'espace, j'ai pu rentrer directement en licence 2 Arts Plastiques. C'est l'une des licences où la pratique est là que tu sois en L1, L2 ou L3 ! Il y a de la théorie oui mais ces cours sont aussi important que les cours de pratiques. Il y un atelier où tu peux toucher à toutes les techniques artistiques, un atelier où tu dois te spécifier dans un domaine comme la photographie, la gravure, la BD, la vidéo, etc, puis un atelier plus dans le métier de l'image. Pour les cours de théorie, c'est de l'histoire de l'art, donc il faut apprendre son cours sur le bout des doigts lors des partiels... Tu n'es pas obligé de savoir dessiner, il faut être créatif, savoir se démarquer des autres. Au niveau de notes, tout dépend des enseignants, certains vont aimé d'autre non. Chaque cours est différent selon celui qui enseigne : 2 ateliers identique peuvent être différent selon l'enseignant qui lui donne cours. Si tu veux plus d'informations, contacte moi ! :)
Je n'ai fait que ma première année de licence Art du Spectacle. Il y a deux option : théâtre et cinéma. Ce qui m'intéressais c'était la décor, la scénographie, comment est créé l'espace, etc. Mais mise à part les cours d'analyse filmique, je n'appréciais pas trop le déroulement de la licence. Elle offre très peu de pratique, c'est beaucoup de théorie. Il y a apparemment quelques heures de pratique en L2. Il faut en fait pratiquer en dehors, ce qui est largement faisable. L'art du spectacle est un travail qui se fait toujours en groupe, j'avais un peu de mal car j'aime aussi avoir cette liberté de faire ce que je veux faire sans contraintes.
Après avoir passé un bac ES - Economie & Social -, me voilà, plongé dans mon rêve d'adolescent : la filière Sage-Femme. Aussi loin que je puisse me souvenir, ce travail a toujours été une vocation en moi. Certain.e.s auraient préféré la médecine générale, d'autres la pédiatrie... Mais l'entre-deux, quand le médical se mêle à l'accompagnement, l'écoute, la bienveillance, la douceur : c'est la filière Sage-Femme qui se démarque. Chaque année d'apprentissage me fait aimer davantage mon futur métier. Mes projets fleurissent à foison : ouvrir un cabinet ? Faire du domicile ? Exercer en hôpital ? Il faut continuer d'avancer et écouter ses désirs pour le savoir. En Sage-Femme, tout est possible. Tu peux te spécialiser ; décider de consacrer une partie de ta vie à l'hôpital, et l'autre en libéral. Tu peux te contenter de ton diplôme, ou bien les collectionner : échographie, gynécologie, conseiller.e en lactation... Le panel de spécialisation est presque infini. Tu verras que ce métier est un assemblage de plusieurs : soins infirmiers, psychologie, sociologie, gynécologie... Et non pas que des accouchements ! Personnellement, ce que je trouve le plus beau dans ce travail, c'est participer à l'accompagnement des familles qui se construisent. Qui se reconstruisent. Qui apprennent. Qui aiment, qui chérissent... C'est commencer avec elles, un chemin si long à l'avenir. Les guider dans leur rôle de parents, qui durera - nous l'espérons -, toute leur vie. Et me voilà, à 21 ans, en troisième année déjà. Dans un autre pays, apprenant des choses tout à fait différentes du mien. France et Belgique sont voisins, pourtant les modalités sont tout aussi variables ; et c'est ce qui m'enrichi davantage. Etudes en Belgique, stages en France. Diplôme reconnu dans toutes l'UE. Quelle sera la suite ? ;)
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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