Étant étudiante dans cette école depuis 1 an et demi, c'est de celle-ci dont je vais vous parler, mais cela vaut pour toutes les formations d'art en général. L’Institut Supérieur des Arts Appliqués – LISAA – est un établissement d'enseignement supérieur privé. La première école a été ouverte à Paris en 1986. Aujourd'hui, elle dispose d'établissements dans six villes de France et deux à l'étranger. En tout, LISAA c'est 11 établissements, mais aussi des formations en e-learning.
Les deux formations se déroulent en une année et sont des années similaires d'apparence. Je vais vous expliquer les différences entre ces dernières. La Mise à Niveau en Arts Appliqués c'est avant tout une année où les étudiants de toutes filières sont réunis afin de révéler leur créativité, et d'approfondir leur culture artistique. Mais surtout, la MANAA permet de se préparer aux concours et à l'entrée à tous les cursus des écoles supérieures d'Art grâce à ses cours de Mathématiques & Sciences appliquées et de Français. C'est un véritable plus quand on doute encore de la suite de sa formation.
L'année Préparatoire va dans le même sens que la MANAA, c'est une année où les étudiants sont là pour apprendre, s'améliorer, et trouver leur voie. À LISAA, les élèves de Prépa et de MANAA sont mélangés. Les cours dispensés dans les deux cursus sont les mêmes exceptés les deux cités ci-dessus. Il s'agit de Dessin d'Observation, de Couleur, de Volume, d'Étude Documentaire, d'Arts Techniques et Civilisations, d'Anglais, d'Infographie, de Modèle Vivant, de MCR, de Démarche Créative et de Sémiologie. Au second semestre, des cours de découvertes au Design Graphique, à la Mode et à l'Architecture permettent aux étudiants de trouver leur voie.
Pour résumer ce qui a été dit dans les deux précédents paragraphes, les enjeux des deux formations (Prépa et MANAA) sont les mêmes : développer le potentiel des étudiants afin de les faire s'épanouir et de les aider à trouver leur domaine d'avenir. Les cours sont les mêmes exceptés le Français et les Sciences en MANAA. Ces deux derniers permettent d'avoir un complément sur votre bulletin afin d'accéder aux formations des autres écoles. Pour conclure, si vous êtes certains de vouloir rester dans la même école pour votre diplôme, alors dirigez-vous vers la Prépa. Si vous avez encore des doutes sur votre choix de formation à l'avenir, il est plus prudent de choisir la MANAA.
J’ai osé la double licence : mon parcours Durant mes années lycée, mon choix d’orientation a été une longue réflexion. Arrivée en seconde je me voyais faire un bac S pour aller en médecine, cependant cette même année m’a fait comprendre que ce chemin ne serait pas pour moi en vue de difficultés en physique chimie et une motivation a la baisse pourtant nécessaire pour ces études. Par la suite, J’étais une élève plutôt bonne en toutes les matières, j’aimais étudier et m’investir dans la vie du lycée, le choix de la filière fut compliqué du fait qu’aucunes des filières ne m’étaient déconseillées. Je me suis dirigée vers un bac ES car ma nouvelle idée était de faire une fac de droit et je trouvais cette filière appropriée. Cependant pendant cette même année, je me suis rendu compte que je ne faisais aucun choix par réelle passion. J’aimais l’art mais ne me projetais pas dans une licence d’histoire de l’art. J’ai alors pris de nombreux rendez-vous avec mon conseiller d’orientation pour trouver la voie parfaite pour moi. Après de nombreuses recherches, les mots sont tombés : la double licence ! Cette voie était parfaite pour moi, elle combine deux sujets d’étude donc pour les indécis ce choix est parfait. Je ne me voyais pas en licence simple avec un emploi du temps léger je voulais avoir une charge de travail beaucoup plus conséquente ! Dès la fin de la première, je me suis mise a me documenter sur les différentes doubles licences. Deux ressortaient du lot : droit - histoire de l’art et droit - philosophie. Cependant, ce cursus étant peu développé, aller sur paris était nécessaire. Après plusieurs recherches, mon choix s’est orienté vers la double licence droit histoire de l’art de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, cependant seulement 60 places sont disponibles pour plus de 1200 demandes … Entrer dans ce cursus est alors devenu ma principale préoccupation, je me suis énormément investie dans mes cours mais aussi en dehors du lycée avec différents stages notamment dans un hôtel de vente de ma ville. J’étais en recherche permanente de trouver des façons de rendre mon dossier scolaire le meilleur possible. J’ai eu évidemment de très bonnes notes pendant la première et la terminale. Je nourrirais ma curiosité pour l’art dans différents musées et expositions. J’ai aussi commencé à travailler sur mon projet motivé dès le début de la terminale avec mon professeur principal ainsi qu’un étudiant de Paris 1 rencontré sur Study Advisor. Tous les trois nous avons réussi à aboutir sur une lettre qui me ressemblait tout en étant différente. Car oui le projet motivé pèse beaucoup pour espérer y décrocher une place. Le jour des résultats parcorusup, j’ai découvert que j’étais extrêmement bien placée en liste d’attente soit 30 sur 1400, ce qui était très positif. 4 jours d’attente plus tard, je recevais ma proposition d’admission ! Je me suis empressée de l’accepter puis me suis concentrée sur le bac. Le bac Es en poche mention très bien, je me sentais prête à entrer dans la vie étudiante. Après quelques galères de logement, j’ai pu enfin me projeter dans ma nouvelle vie. Aujourd’hui, j’ai commence cette merveilleuse double licence et m’épanouis énormément. Le droit me donne une rigueur à avoir et histoire de l’art quant à elle nourrit ma passion. Mon emploi du temps est plus que correct et ma promo est super. Je ne peux que conseiller les doubles licences pour les indécis, ceux qui voudraient faire plusieurs métiers totalement différents. Pour ceux qui ne veulent pas passer d’une classe de 30 au lycée à un amphi de 600 à la fac. Pour ceux qui veulent une plus grande charge de travail mais ne pas faire une prépa. La double licence te permet de sortir au bout de 3 ans avec deux diplômes au lieu d’un. Je ne regrette absolument pas ce choix et ne peux que le conseiller. Chaque double licence est reliée à son association qui t’aide et te guide durant ces 3 années mais organise aussi beaucoup de sorties culturelles et soirées. N’ayez pas peur d’oser la double licence ! Pour plus de renseignements, je me tiens à votre disposition pour vous aider pour votre projet motivé parcoursup mais aussi pour vous parler des différents doubles licences de la Sorbonne ! N’hésitez plus et contactez-moi ;)
J'ai commencée cette année, ma formation en Lettre parcours métier de l'écrit et de la culture à l'université Paul Valéry. Je suis très satisfaite du programme et des enseignants qui dispenses les cours. Je me mets donc à la disposition de toute personne voulant plus d'informations à ce sujet.
Je suis actuellement en première année d’un Bachelor en management international de l’hôtellerie que j’ai intégré à la suite d’un bac ES. Avant d’intégrer une école hôtelière, j’étais une élève moyenne un peu perdue qui ne savait pas trop quoi faire pour la suite de mes études. C’est en rencontrant et discutant avec des étudiants en hôtellerie lors de salons étudiants que j’ai eu un coup de cœur pour cette formation. Je me suis alors rendu compte que j’avais le profil pour intégrer ce genre d’école puisque je suis une personne d’un naturel curieux, ayant le sens de la communication et adorant parler anglais, et surtout détestant rester assise sans rien faire. Une école hôtelière était donc l’endroit rêvée pour moi afin de m’épanouir pleinement et apprendre un métier de passion. En effet si vous souhaitez apprendre une métier demandant de l’énergie et de la curiosité, l'hôtellerie ne vous laisse pas le temps de vous ennuyer. Au fil de mes échanges avec les étudiants lors des journées portes ouvertes et les professionnels du secteur, j’ai pu me rendre compte à la fois du professionnalisme des étudiants à leur sortie, mais aussi de l’esprit de famille bienveillant qui règne entre les différentes promotions ou encore des nombreuses opportunités et débouchés dont bénéficient les étudiants à la fin de leur cursus.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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