D'aussi loin que l'orientation me parle, c'était d'abord des envies de devenir photographe qui me démangeaient. Mais le secteur étant bouché, je ne me suis pas trop attardée dessus et je me suis plutôt tourné vers le journalisme. Dès mon entrée au lycée c'était une certitude ! Le choix de l'école à été fait plutôt aléatoirement car mon plan A était de partir faire mes études au Québec. Quelques soucis m'ont obligé à revoir mes plans et me voilà à m'inscrire en urgence dans une école post-bac où j'avais passé les concours : l'ISCPA à Paris.
Les formations en journalisme se ressemblent d'une école à l'autre et ont la qualité d'être "touche à tout". En première année les longues heures de théorie m'ont plutôt faire peur, j'avais pas signé pour ça... Mais c'est une étape non-négligeable pour construire une culture générale et devenir un "bon" journaliste. Entre trois cours théoriques, un cours pratique et ça, ça motive. Passer sur un plateau télé, en studio radio et réaliser ses propres magazines, ça donne tout de suite des airs de grands. En dehors des cours on a pas mal de temps libre qu'il faut réussir à organiser entre révisions de partiels, rendus de projets et sorties avec les potes, en bref, une vraie vie d'étudiant !
Les études de journalisme ne sont pas dures en soi. Si t'aimes ça, tu ne vois pas le temps passer. Les cours sont construits comme si nous étions déjà de vrais journalistes alors le seul grand challenge à surmonter serait celui de croire en soi. C'est un milieu de compétition alors autant commencer dès le début à avoir confiance. L'autre problème c'est sans doute de gérer les révisions des partiels, pas facile de s'organiser et s'y prendre deux jours avant, c'est pas la bonne solution (connaissance de cause...) mais encore une fois quand t'aime ça, c'est comme les chats, tu retombes toujours sur tes pattes.
J'ai su m'adapter très vite aux études supérieures, comme un poisson dans l'eau. L'adaptation c'est primordiale parce que ça regroupe l'autonomie, l'organisation... Mais en journalisme la plus grande qualité c'est la curiosité. Si je ne m'intéresse pas au monde qui m'entoure, à l'actualité, aux situations des pays, etc, c'est fichu : je ne peux rien écrire et surtout, je ne comprends rien en cours sinon.
Je souhaite maintenant changer de ville et donc d'école mais toujours dans le but d'obtenir un master en journalisme. Je suis donc bien renseignée sur toutes celles que l'on trouve en France et même à l'étranger. Les formations en journalisme sont souvent mal expliquées sur internet et j'ai su peu à peu démêler tout ça. Mon petit bout de chemin déjà parcouru dans cette formation me permets d'expliquer facilement le contenu de mes cours, mon expérience, mes doutes mais aussi mes échecs.
Je suis rentrée en première année via le concours commun après une tentative pendant ma terminale. Je suis actuellement en M1 spécialité développement soutenable (c'est pas du greenwashing des écoles de commerce!!). J'adore, je m'épanouie, on est en petit groupe pour les cours et on a une relation très cool avec nos enseignants. Sache que si tu rentres en 1er cycle, la 3A est obligatoirement à l'étranger. J'ai effectué la 3A en Norvège.
Le bac en poche et ayant été pris en médecine à Lille, je m'envole depuis mon île natale pour rejoindre ma toute nouvelle ville pour quelques années. J'ai tout de suite adorée Lille et le Nord de la France mais je n'ai pas vraiment eu le temps d'en profiter entre la recherche de logement, les papiers administratifs et pour être honnête, le stress d'arriver en médecine juste en sortant du lycée. La faculté de médecine comme première expérience à la fac, c'était incroyable et horrible à la fois. De part le fait que j'étais enfin seule et indépendante et surtout parce que j'étais seule et indépendante. La pression des cours, la motivation qui commence à partir, le froid, l'inconnu, ça a été très dur pour moi alors que j'adorais les cours donnés (pas le rythme) et arrivée au concours de décembre, je me suis plantée. Je ne regrette pas, j'ai adoré ce semestre en médecine et ça a renforcé la pensée que j'avais : je ne suis pas faite pour être médecine ou professionnel de santé. Et la fac c'est fait pour ça aussi, essayer, se tromper et retomber sur ses pattes. Les erreurs sont possibles, autorisées et encouragées donc il n'est jamais trop tard pour changer ou réaliser que nous ne sommes pas dans la bonne filière. Et puis, on ne perd jamais rien, c'est toujours du savoir en plus qui est utile !
Salut moi c'est Jeanne, je voulais vous partager la méthode de travail qui m'a sauvé la vie lors de ma première année. Entre les cours, les potes, la famille, les amours, j'avais du mal a gérer surtout que je vivais seule depuis quelques temps. Mes notes ont vite été impactées par mon manque de méthode et je devais trouver une solution vite. Alors voici comment je m'organise. (il est important de préciser qu'il n'existe pas de solutions miracles, pour bien assimiler un sujet il est nécéssaire de le travailler plusieurs fois de plusieurs manières différentes : orales, écrites ...) 1) mettre au point un code de travail ( ex : vert = définitions, bleu = remarques, violet = titres, rouge = formules, souligné= mots clés...) une fois cette méthode assimilée il est bien plus facile de prendre des notes lisibles et de faire des fiches rapidement en trouvant les détails importants au premier coup d'oeil. 2) noter TOUT le cours, les TD et mêmes les remarques importantes en prenant des notes rapides brouillons. 3) une fois rentré, et après avoir fait une PAUSE, réécrire le cours au propre en conservant le code de travail et ranger le cours dans un classeur qui reste à la maison, seules les notes brouillons restent dans le sac de cours car si elles sont perdues pas grave ! s'appuyer sur les supports du professeur (ex: ppt, polycopié...) 4) POUR LES TD, réécrire au propre, trouver une méthode propre a chaque exercice/cas et noter cette méthode. Cela permettra de réviser plus rapidement sans se questionner des heures sur le pourquoi du comment. 5) s'y prendre à l'avance avant les partiels et FICHER les cours en conservant le code couleur, cela permettra non seulement de réviser mais aussi de résumer le cours dans un format plus pratique (TOUJOURS garder ses fiches au cas ou on en a besoin les années futures, donc après les partiels les fiches doivent être rangé dans le classeur avec les cours de la matière). tips : lors des révisions noter sur une feuille a part les questions ou exercices récurrents et important et s'entraîner à y répondre / faites vous interroger par un proche. Vous voilà fin prêts ! Bonnes révisions
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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