J'ai moi même réalisé un stage de 10 semaines en fin d'IUT. J'ai choisi de partir dans un pays anglophone afin de parfaire mon niveau d'anglais et pour avoir une nouvelle expérience. Je suis partie seule là bas. Mon stage concernait une étude sur des animaux en voie de disparition. J'ai choisi de partir à l'étranger pour les raisons que je viens d'exposer mais aussi parce que c'est extremement vendeur ! En effet, avant d'avoir fini mon stage je candidatais pour différentes écoles d'ingénieurs. Je l'avais quand même inscrit sur mon CV et je peut assurer que de dire "Je suis actuellement au Canada pour réaliser mon stage" ça rends tout de suite l'auditeur beaucoup plus confiant sur votre capacité à intégrer une école. Cela prouve que vous être débrouillard, autonome, que vous avez un bon niveau d'anglais, que vous vous engagez jusqu'au bout dans vos projets et que le changement ne vous fait pas peur.
Cela montre votre capacité à vous adapter à de nouveaux environnements, cela prouve que vous être autonome et capable de prendre des risques pour vous améliorer. Cela joue beaucoup sur le CV si vous cherchez à intégrer une école d'ingénieur après où même le monde du travail.
- L'autenthicité de l'entreprise/ assocaition vous acceuillant (attention aux pièges /arnaques)
- La qualité du stage : le sujet doit être adapté, vous devez avoir des tâches à réaliser quotidiennement (attention de ne pas vous rendre compte que le stage ne vous convient pas une fois sur place)
- Les papiers pour le voyage : certains pays nécessitent des permis de travail etc . Il faut faire attention, bien se renseigner et s'y prendre en avance pour ne pas être obligé de rester en France.
- La langue locale (veillez à avoir des bases) on ne se rends pas forcément compte de la difficulté de s'exprimer au quotidien
- Le budget : attention de bien étudier vos dépenses avant pour prévoir des fonds suffisants
- Le logement : il est parfois possible de se faire loger sur place par l'association (c'était mon cas) mais il faut parfois chercher un logement par soit même. Attention de prendre un logement proche de votre lieu de travail où bien desservi par les transports. La colocation peut être un excellent moyen de s'immerger dans la culture et de créer des liens !
Si vous voulez plus d'informations concernant les stages au Canada (partie anglophones) ou que je vous donne des sites utiles pour en trouver n'hésitez pas à me contacter ! Je serais ravie de pouvoir vous donner des conseils sur les lieux, l'organisation et les choses à prévoir pour un stage à l'étranger. Comme je l'ai dit mon stage était au Canada donc j'ai principalement des rensignements pour se rendre dans ce pays.
Merci d'avoir lu jusqu'au bout !
LEA Anglais-Espagnol...ma première année à l'université. Premièrement, il faut savoir qu'il n'y a pas besoin d'avoir un niveau fou pour entrer dans cette licence. Deuxièmement, c'est donc une licence disponible uniquement à l'université, pour une durée de 3 ans, donc si tu y entres après ton BAC, tu en ressortiras à BAC+3. QU'EST-CE QUE C'EST ? La LEA (Langues Etrangères Appliquées) est une licence qui se base sur 2 langues de ton choix. Généralement la LV1 est l'anglais et la deuxième est ton choix. C'est une formation assez variée au niveau des cours : - Anglais : traduction, civilisation britannique/américaine, expression/grammaire - LV2 : mêmes matières que pour l'anglais - Economie - Langue des médias - Droit et géopolitique - Comptabilité - Communication - Informatique Bref, ça touche à tout, et ça c'est cool. LES DEBOUCHES - Tu peux continuer tes études jusqu'au BAC+5 si tu le souhaites pour te spécialiser. - Boulot : ayant étudié plusieurs domaines et en plus dans plusieurs langues, tu peux donc prétendre à des secteurs variés tels que : tourisme, traduction, commerce, marketing, tourisme, enseignement...En n'oubliant pas que tu peux te lancer à l'international étant donné que après ta licence tu es forcément bilingue voire trilingue. MON ANNEE Je ne suis restée qu'un an en LEA Anglais-Espagnol. En effet, après le Bac je n'avais pas encore d'idées précises de ce que je voulais étudier, et étant bonne en anglais, je me suis donc dirigée vers cette licence. Outre le fait que les matières étaient intéressantes, je ne voulais plus de la partie Espagnole ; je me suis donc dirigée vers une licence LLCER Anglais l'année suivante (voire mon autre témoignage!). En plus de cela, les débouchés ne me plaisaient pas, alors avant de vous lancer dans une formation, pensez-bien à regarder les débouchés, ça serait bête de perdre une année pour ça ! Dernier point : je ne suis pas faite pour l'université. Il faut faire preuve de beaucoup d'autonomie, ce que je n'ai pas eu sur cette première année post-bac, c'était un peu la découverte du monde étudiant, donc il est très facile de se perdre !
Actuellement en 3ème année de licence de droit, je suis au cœur de la courses qu'est la sélection en Master. À mon arrivée à l'université je ne connaissais personne, en effet j'avais quitté ma ville natale dans le but de poursuivre mon projet professionnel. Me voici alors seule à l'université, je fais connaissance avec une camarade de mon TD et nous décidons de nous inscrire à la journée d'intégration puis au week-end d'intégration. Ce fût l'occasion de faire de nombreuses rencontres dont la plupart sont mes plus grands potes aujourd'hui. Suite à ce premier mois d'intégration, et une adaptation plutôt facile à l'organisation de la faculté, j'intègre mon association de filière, l'occasion de faire toujours plus de rencontres, non seulement en droit mais aussi dans d'autres filières. Pour ce qui est des cours, j'ai très facilement pris le rythme, je valide mon premier semestre au haut la main en allant aux cours magistraux (CM) et en préparant mes travaux dirigés (TD) . Après les vacances de Noël débute le deuxième semestre. Mon organisation se détériore, je ne vais presque plus en CM mais je prépare toujours mes TD. Mes occupations se résument plus à des soirées qu'à des révisions, je valide tout de même haut la main mon semestre en ayant trouvé un job pour l'été. Je rentre alors chez mes parents pour l'été, je rate tous les moments avec mes amis. Je reviens ensuite pour débuter ma L2. Mon organisation est toujours aussi catastrophique, de plus je suis trésorière de mon association. Je ne vais pas en cours, je réussis à me faire dispenser de TD, une catastrophe. Je ne valide pas mon semestre, je m'y attendais. Le confinement pointe le bout de son nez au S4, je valide mon semestre en distanciel, rien à signaler sur ce semestre, j'ai mon année. Me voici alors en L3, j'ai désormais un emploi en 20h dans une pizzeria en même temps que mes études. Je tiens jusqu à octobre puis je démissionne, moi qui ne suis pas organisée s'en est trop pour moi. Je me permets cela car ce n'est pas un emploi alimentaire. Les cours ont lieu en présentiel pendant quelques mois, puis le confinement frappe une deuxième fois, je comprends de moins en moins bien les cours et les nouvelles notions, le distanciel devient compliqué, je valide malgré le peu de bienveillance des professeurs qui pensent que nous sommes des "bêtes de triche". Je suis désormais dans la dernière ligne droite pour valider ma licence, le distanciel ruine de plus en plus ma motivation et augmente les lacunes mais je tiens bon dans l'espoir de pouvoir réaliser mon projet professionnel et obtenir le Master que je veux. Je débute tout juste les candidatures, au milieu de mes révisions pour les futurs partiels, j'accumule les documents à scanner et les fiches de renseignements. En grande stressée, j'envisage de candidater à 42 masters dans toute la France. Comme on dit "Qui ne tente rien n'a rien".
Comment ai-je vécu mon BTS MCO ? J'ai rejoins ce BTS car il regroupait des matières que j'avais déjà étudiées auparavant pendant mon BAC STMG. L'avantage de ce BTS, c'st qu'il est touche à tout, et c'est ce qui m'a plu : management, communication, droit, anglais, économie, etc... Les débouchés aussi sont assez ouverts si on décide de poursuivre ses études, c'est donc pour cela que j'ai continué dans un Bachelor spécialisé en Marketing, car c'est la matière qui m'a le plus intéressée ! Autre détail : c'était ma première année en alternance. Je n'avais jamais testé auparavant, mais il faut dire que c'est assez pratique car certaines matières qu'on étudiait (ex : le management ou la communication) étaient mieux assimilées quand nous étions sur le "terrain" (généralement dans une surface de vente). Découvrez mon article sur l'alternance, j'y explique comment j'ai vécu ces deux années. En bref, le BTS MCO est très sympa et enrichissant quand on ne sait pas encore ce qu'on souhaite faire plus tard, et il ouvre pleins de portes ! ;)
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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