Promouvoir une autre voie qui ne serait pas juste une ALTER-PACES mais une ALTER-SYSTEME n'est pas de tout repos quand on souhaite rester impartial dans sa description !
Tu veux devenir médecin mais tu n'apprécies pas le système de sélection français ? Tu as peut-être peur de l'échec ? Ou bien tu ne sais pas quoi faire en cas d'échec ? Tu te demandes s'il y a encore des alternatives après deux PACES ?
Tu lis le Bon Article ...!
Après deux PACES (1 validée sur 2), j'ai entrepris un revirement dans mes études. Je suis parti étudier la médecine en Belgique ! Possible ?
J'en suis la preuve vivante !
Le monde inconnu...mélange doux de scepticisme, d'incertitude et d'excitation.
Tout le monde peut-il faire le grand saut ?
Evidemment, non.
Il faut le vouloir pour le pouvoir. Etre capable de vivre en autonomie (être financièrement et psychologiquement soutenu), être organisé, ouvert envers d'autres cultures, d'autres manières de voir les choses. Comme une ruée vers l'or, je dirais que pour s'expatrier scolairement, il faut croire en ses rêves plus qu'en ses peurs...!
NB : La Bourse du CROUS suit les élèves dans tous leurs déplacements européens, n'oubliez pas de faire votre demande !
Car le Système NE TE VA PAS !!! (ou plus ;) )
Changer de système te permettra d'avoir un nouveau point de vu sur tes études. Tout cela afin de t'épanouir totalement dans ce que tu fais.
Pourquoi la BELGIQUE ?
Changer de système te permettra de trouver chaussure à ton pied et tu pourras évoluer dans un système qui comme en BELGIQUE est moins COMPETITIF, pas moins EXCELLENT, plus DIVERSIFIEE et plus ETALEE sur la durée ce qui te permettra de mieux COMPRENDRE et APPRIVOISER les notions primordiales.
En Belgique IL N'Y A PAS DE CONCOURS D'ENTREE ! Par conséquent quand tu es en première année, tu es VRAIMENT EN MEDECINE !
Bien qu'on note une absence de concours en Fédération Wallonie-Bruxelles (partie francophone de la Belgique), la sélection se fait bel et bien.
Comment ? Par un Examen d'Entrée avant l'entrée en médecine portant sur les matières scientifiques du secondaire + quelques matières " non-scientifique ".
L'Examen D'ENTREE en Médecine et en Dentisterie est un examen comportant 8 épreuves : Maths, physique, Chimie, Biologie, Empathie, Ethique, Communication, Raisonnement.
Exigence de l'examen : 8/20 minimum à chaque matière et 10/20 minimum pour la partie scientifique et non-scientifique.
AUCUNE MATIERE N'EST A NEGLIGER ! Le site pour Tout savoir sur l'Examen d'entrée !!!
Cet examen est ACCESSIBLE mais un peu PIEGEUR avec le système à POINT NEGATIF !
Et pour ce qui est des études en elles-mêmes un minimum de 10/20 est exigée à CHAQUE matière pour pouvoir valider TOUTE son année. ( Ce qui est biensûr le but recherché ^^)
Pour résumé : Les études de médecine en Belgique en 5 étapes Il faut :
- Avoir un diplôme de fin de secondaire (Baccalauréat par exemple)
- Faire sa demande d'équivalence AVANT le 15 JUILLET (coût 200 euro) de l'année d'étude précédent ton arrivée je répète : AVANT 15 JUILLET (voie de recours complexe)
- Faire une semaine prépa avec la FAC (coût 30 euro) et préparer cet examen en Amont ...!
- S'inscrire à l'examen d'entrée et choisir sa FAC
- Réussir l'examen d'entrée sinon possibilité de s'inscrire en Sciences Biomédicales ou Pharmaceutiques.
Au sortir de la terminale, les contours de mon orientation restaient encore flous. J'avais tenté le concours commun des IEP sans trop me préparer à l'épreuve, espérant m'en sortir sans avoir trop travailler les sujets au préalable. Bien entendu, cette expérience s'est soldé par un échec. Je n'ai pourtant pas pour autant renoncé à mon objectif d'entrer au sein de la formation Sciences Po. Cette formation représentait à mes yeux une opportunité de bénéficier d'un enseignement pluridisciplinaire, stimulant intellectuellement et ouvrant sur le monde (j'ai été particulièrement séduite par la 3ème année à l'étranger obligatoire) . N'ayant aucun domaine spécifique dans lequel je voulais axer mes études, tout comme n'ayant aucune vocation à exercer tel ou tel métier, j'ai donc décidé de poursuivre cet objectif : réussir le concours commun aux IEP. En recherchant les diverses formations qui permettaient de préparer à ce concours, j'ai découvert celle de l'Université de Lille. L'Université de Lille proposait une classe préparatoire aux concours des IEP adossé à une licence soit d'Histoire, de Littérature ou de Philosophie. Cette formation étant limité en nombre de place, les candidats étaient acceptés sur dossier et lettre de motivation. Alors que les premières réponses d'APB (ancêtre de parcoursup) sont tombées, je me suis retrouvée en liste d'attente sur cette formation. A défaut d'avoir connu parcoursup, j'ai connu la période d'incertitude resultant de la "première phase" qui nous laisse désorienté et anxieux quant à notre avenir. Néanmoins, j'ai finalement eu la chance d'être accepté dans cette formation. Rapidement, la qualité des enseignements dispensés nous ont permis d'acquérir un savoir et une méthodologie efficace, qui me servent encore aujourd'hui dans mes études. Nous étions répartis en 3 classes avec de petits effectifs, permettant de mettre en place un véritable accompagnement des élèves par les enseignants. Cette année en classe préparatoire, m'a permis d'élaborer de nouvelles méthodes de travail, plus particulièrement celle de travail de groupe. La solidarité et l'entraide sont de mise au sein de la formation, se préparer au concours est une activité qui s'exerce en groupe, en se stimulant les uns des autres, en débattant ensemble. Ainsi, je considère cette formation comme un atout, un atout pour l'ouverture culturel qu'elle nous procure, un atout pour l'enseignement dont elle nous dispense et la méthodologie qu'elle nous pousse à appliquer. Les matières abordées concernent les matières du concours, à savoir histoire, anglais, espagnol, culture générale... auxquelles s'ajoutent celle de la licence choisie. Bien évidemment, on ne peut parler de cette formation sans parler de la rigueur et de l'assiduité au travail qu'elle implique. Néanmoins, son modèle reste calqué sur celui de l'Université, c'est-à-dire que le travail demandé est avant tout du travail personnel nécessitant recherches et lectures. Par conséquent, il y a peu de "devoir maison" car l'on considère que le travail est avant tout un investissement personnel.
Beaucoup de personnes se demandent ce qu'ils feront après le bac. C'était mon cas lorsque j'étais en terminale, je voulais faire kinésithérapeute mais j'ai appris à ce moment-là qu'il fallait passer par 1 année de médecine. Or, je n'avais pas le courage et l'envie de faire cette année de médecine. Je suis donc allée voir ma conseillère d'orientation qui m'a présenté le métier d'ostéopathe, métier qui se rapprochait le plus de kinésithérapeute. Suite à cela, j'ai donc postulé dans 2 écoles d'ostéopathie à Paris : l'IDO et l'EO Paris. Après avoir envoyé mon dossier, j'ai été retenue dans les deux écoles pour passer un entretien. Je suis tout d'abord allée passer l'entretien chez l'IDO puis un peu plus tard chez l'EO Paris. Pour des raisons personnelles, j'ai préféré aller à l'EO Paris et intégrer cette école située au-dessus de la gare Montparnasse. J'entame ma première année en tant qu'étudiante en ostéopathie et tout de suite j'accroche avec cette formation et ce métier si intéressant. Les cours théoriques se complètent très vite par des cours de pratique ou chacun est avec son binôme, le professeur nous montre une technique à réaliser, puis nous la reproduisons sur notre binôme et sur une table de pratique. J'apprends très vite que l'anatomie sera le principal pilier de notre métier et que la rigueur et la réflexion seront nos meilleures armes pour traiter nos futurs patients. Dotée d'une clinique interne à l'école, nous pouvons observer quelques consultations réalisées par les étudiants de la 3ème à la 5ème année. Ce qui m'a plu directement dans cette école, c'est aussi cette ambiance qu'il y règne. Les professeurs sont à l'écoute et très compréhensifs, toujours à nous aider en cas de problème ou de doute. En bref, je ne regrette pas d'avoir choisi cette formation qui m'apprend de jour en jour à me surpasser et à apprendre un réel métier d'avenir.
Une formation général qui apporte de nombreuses bases dans tous les domaines du commerce : marketing, communication, management, comptabilité, droit des contrats, négociation, … Nous donne de nombreuses opportunités avec 4 stages à réalisés, dont minimum un à l'étranger. J'ai personnellement réalisé un stage chez Zapa (boutique de vêtement haut de gamme), chez Oxfam London (boutique de charité, articles de seconde main) et dans une galerie d'art en Floride.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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