J'ai choisi cette fac parce qu'elle était la seule à proposer un parcours qui me plaisait dès la première année de Master : La propriété intellectuelle. En réalité, quelques fac de Paris le proposaient, mais je n'avais pas envie de rejoindre la capitale, et je me plaisais mieux dans des villes à l'échelle de Bordeaux, une ville charmante, grande, ensoleillée et où il me semblait qu'il faisait bon vivre. ça a donc été mon choix principal, et j'avoue que je n'aurais pas vraiment su choisir un autre établissement si je n'avais pas été accepté dans ce master.
Le droit de la propriété intellectuelle donne de nombreuses compétences quant au droit de la propriété littéraire et artistique (droits d'auteurs) et à la propriété industrielle (droit des dessins et modèles industriels, des brevets, ou même des marques). Mais cette formation, bien que spécialisée en propriété intellectuelle dans les grandes lignes, reste assez ouverte, proposant des enseignements secondaires en droit bancaire, pénal, international, etc. De plus, elle apporte une certaine culture, puisqu'on nous y enseigne également le droit de l'informatique, des médias... Avec cette formation, je me forge un profil ouvert et hétéroclite.
Mon principal challenge a été, au cours de l'année, de me trouver un projet plus précis pour la suite, voire même un projet professionnel précis. Jusqu'à la fin du premier semestre, j'étais toujours dans le flou. La "révélation" est venue lors d'un cours de droit de la vigne et du vin, où, tout le long, je me suis mis à envisager ce parcours, et au fur et à mesure des cours, de plus en plus sérieusement. Aujourd'hui, je compte bien postuler dans ce master enseigné à Bordeaux, et tenter les autres touchant ce domaine dans toute la France.
Il est important pour cette formation d'être ouverte d'esprit et d'appréhender des matières somme toute assez neuves, en comparaison au droit "classique". Le droit, dans cette matière, évolue en permanence, il faut savoir prendre du recul et se mettre à la place des personnes bien spécifiques qu'il concerne pour bien prendre conscience des enjeux qui se tiennent alors. Je pense avoir cette ouverture d'esprit, et cette volonté de ne pas m'enfermer dans le "que juridique".
Je pense avoir abordé la question du master avec le profil de l'étudiant lambda, qui n'est pas vraiment sûr de ce qu'il veut faire précisément plus tard, mais qui est tout de même motivé à avancer. Aujourd'hui, j'ai déjà validé le premier semestre, et j'espère être en bonne voie pour valider la suite, donc je suis la preuve qu'un élève moyen et peu sûr de son avenir peut s'en sortir, trouver une motivation, et validé ses semestres malgré tout !
Cher-e piou-piou. Je reviens vers toi à l’aube de ma dernière année de licence de philosophie. Maintenant qu’il me reste que quelques mois de troisième années il me semblait intéressant d’en faire un bilan avec toi. Qu’est-ce que ça m’a apporté ? Des connaissances philosophies bien entendu, mais une culture générale plus vaste allant des sciences à l’art. J’ai appris à travailler, à m’organiser, à être curieuse, à lire, à prendre confiance en moi. Mes projets d’avenir ? En commençant ma première année je disais ne pas vouloir enseigner, être là juste par plaisir. Alors certes je suis encore là pour le plaisir d’apprendre mais j’ai aussi développé le goût du partage des connaissances. J’aime parler de philo, et finalement être payée pour le faire c’est le meilleur compromis. Les concours me font encore peur je le reconnais, ça sera pas des années faciles. Mais j’ai un projet de recherche, j’ai un sujet, un directeur de mémoire. Je sais enfin où je vais. Qu’en retenir ? C’est pas grave d’être perdu en première année, t’y joues pas ta vie ! Tu peux te réorienter, ou bien te laisser le temps de découvrir ce que tu veux faire comme métier. C’est pas grave si tu sais pas, on peut arriver sans projet précis. Laisses-toi vivre, apprends des choses, fais des expériences. Je te garantie que sans te mettre la pression tu trouveras plus facilement ta vocation.
J’avais d’abord visé la licence SVT de l’Université de Nantes en pensant avoir un bagage pour rejoindre des formations axées sur l’entomologie. Puis j’ai finalement été conquise par la cartographie, un domaine formidable que j’ai découvert pendant ma 2ème année de licence. Le stage de 3ème année m’a permit de découvrir la cartographie en tant que métier. Et bien sûr, j’ai plongé dedans tête baissée. J’ai validé ma licence et rejoint le Master de Cartographie et Gestion de l’Environnement dans cette même université. J’en suis déjà ravie. Que de belles découvertes pour mon avenir, une formation complète qui est ouverte à de nombreux domaines de l’environnement.
Quand j'ai intégré la formation d'Ingénieur Généraliste ECAM-EPMI en postbac, j'ai de suite apprécié le système de la prépa intégrée. Cela m'a permis de m'adapter très rapidement aux études supérieures, de m'intégrer, mais aussi de me donner un accès à des associations étudiantes dès les premiers mois. Je suis maintenant en cycle ingénieur, et sous statut auto-entrepreneur grâce aux opportunités qui se sont présentées à moi. Si tu as des questions concernant cette formation ou mon parcours, n'hésite pas à aller sur mon profil et prendre rendez-vous gratuitement. Je t'appellerai avec plaisir pour qu'on puisse en parler tous les deux :)
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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