A l'approche du bac, je n'avais aucune idée de ce que je pourrais bien faire : Grande école ? Fac ? Une autre formation ? L'armée ? Mes parents m'ont amenée au salon de l'étudiant, nous nous sommes renseignés sur internet, via notre cercle de connaissances, sur des forum. Rien ne m'intéressait réellement, le temps pressant, j'ai finalement choisi par défaut, en suivant tout bêtement mes amis qui semblaient beaucoup aimer ce qu'ils faisaient. J'étais sportive, j'aimais les sciences, je n'ai pas réfléchis plus longtemps : je me suis inscrite en STAPS.
Quel que soit le métier que je choisis dans mon domaine, j'aurai besoin de m'appuyer sur une base solide de connaissances en anatomie, biomécanique, physiologie, psychologie, sociologie, ... emmagasinées durant mes années universitaire. En plus de cela, les stages imposés depuis la deuxième année de licence participent à l'élaboration d'un réseau professionnel dense qui me permettra certainement de saisir des opportunités. Ma formation permet une adaptation certaine à quasiment n'importe quelle demande et devant quasiment n'importe quel public. Cette formation nous apprend à être autonomes, curieux, et à faire preuve d'initiative. Nous ne pouvons que tirer profit de cela dans le futur.
Le principal challenge a été de combiner vie étudiante, vie sportive et vie sociale. Il faudra forcément faire un choix à un moment donné. Personnellement, j'ai choisi de réduire mon implication dans le sport pour favoriser l'apprentissage en Master (je n'ai pas arrêté l'activité pour autant). En licence 1 et 2 la question ne se pose pas mais arrivé en licence 3 ou Master, il est possible que l'on ait à faire un sacrifice.
Ma plus grande qualité a été ma capacité à m'adapter. C'est une formation qui propose des sujets variés (stages, cours), de nombreux sports et tout cela dans des situations très différentes. Sans adaptations, je n'aurais pas pu continuer aussi loin. Cette capacité pousse aussi à faire du zèle : pour éviter toute difficulté et en sachant que la charge de travail est lourde, on prévoit et on s'adapte en fonction. Ceux qui n'ont pas réussi à s'adapter se sont souvent ré-orientés.
Je pense être apte à répondre à quasiment toutes les questions posées par les étudiants. Je suis dans le système universitaire depuis assez longtemps pour avoir été confrontée à quasiment toutes les situations. Si je n'ai pas suivi toutes les options, mes amis l'ont fait et j'ai aussi leurs retours d'expérience quasiment quotidien depuis presque 4 ans maintenant. Concernant les futurs stapsiens rennais, j'ai pas mal de trucs et astuces à donner pour une prochaine installation !
Alors? Quoi dire des écoles sup ou même des lycées qui proposent une option communication visuelle plurimédia, du monte photo ou vidéo ou les médias d'une manière générale? Et bien.. Je reste assez mitigé sur la question. Certaines écoles peuvent avoir des programmes très complets, donc avec des cours sur à peu près tout, ou alors malheureusement, certaines peuvent avoir des programmes très limités, comme j'ai pu connaître. Sur le papier on nous promet du montage photo, vidéo, des cours de photographie, de l'infographie et surtout (ce qui m'intéressait le plus) du graphisme à gogo, mais au final, rien de tout ça. 2 cours d'infographie par semaine avec de temps en temps un peu de montage, rien de plus. Pour vous éviter une situation comme ça, je vous conseille très fortement d'aller dans un premier temps, au porte ouverte de l'école, après (si possible) essayez de voir pour une semaine de stage, ou vous serez au coeur même des cours, et vous pourrez vous faire votre propre idée.
Sciences po lille, master Affaire publiques et gestion des biens communs. Spécialisation dans les métiers des relations public-privé. Cour de finance publique, de droit, d'économie et de financement des partenariats.
Classe préparatoire aux Grandes Ecoles scientifiques filière maths/physique option informatique à Reims. Beaucoup de travail à fournir à l'approche des concours (entre 2 et 5 à passer). Par semaines, environ 14 heures de maths, 12 heures de physiques, 2 heures d'anglais, 2 heures de français, 4 heures d'informatiques. Il faut être régulier et aimer la pression. Mais l'ambiance est bonne, les élèves s'entraident et progressent ensemble. Les professeurs sont très compétents et soutiennent les élèves qui veulent réussir. Il faut répéter comme un sportif de haut niveau les exercices classiques qui tombent aux concours.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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