Passionnée par l'événementiel, la photographie, l'informatique, le réseau. J'ai trouvé que le BUT MMI regroupait toutes ces disciplines. Mais malheureusement cette formation est très mal renseignée sur internet et très peu présente dans les salons étudiants. Je me suis donc rendue aux journées portes ouvertes où j'ai pu voir que cette formation était totalement faite pour moi. C'est donc pour cela que j'ai postuler.
Tout d'abord, les stages. Le fait de faire des stages permet de valoriser mon parcours professionnel pour mon futur. En première année j'ai pu réaliser un stage d'un mois dans la sécurité informatique mais aussi dans la communication (réalisation d'un rapport de stage graphique). Ce qui est bien en relation avec mes objectifs finaux en espérant pouvoir les éteindre.
Participer à des concours en 48h heures chrono et monter un projet de start-up avec mon groupe de PTUT (projet tutorer). Le projet tutoré ce trouve dans chaque BUT. De plus, je suis quelqu'un qui n'est pas très douée en développement web mon but étant donc de réussir à coder mon propre site et m’améliorer dans ce domaine car le but de MMI est de réaliser à la fin des deux ans son portofolio.
Pour moi avoir choisi un BUT MMI (métiers du multimédia et de l'internet) c'est avoir choisi une filière pluridisciplinaire de part ces différentes matières (communication, graphisme, audiovisuel, graphisme (suite ADOBE) , algorithmie, développement web, réseau, anglais, mathématique, physique, bases de données, 3D,. Donc un large choix d'orientation par la suite.
Je suis quelqu'un de sérieux et de très inverstie dans tout ce que j’entreprends. De plus j'adore participer à des salons étudiants, ce qui fait que en dehors de STUDIADIVSOR je conseille déjà des étudiants dans leurs choix. De plus étant animatrice en séjour de vacances il m'arrive de pouvoir conseiller de futurs étudiants mais aussi d'être à leurs écoute au quotidien.
2ème année de classe préparatoire, tout le monde était dirigé vers les concours et ne travaillait que pour l'objectif de décrocher la meilleure école d'ingénieur. Ce fut une année aussi intense en travail que la première, mais aussi enrichissante par la difficulté qui nous poussait à nous dépasser.
Salut à toi qui te prend des taqués là où tu veux aller, " Sache qu'il ne faut pas t'arrêter à un NON, dis-toi que tu peux aller encore plus loin et faire ce qu'il te plait ! " Pour ma part c'est ce qu'il m'est arrivée plus d'une fois : qu'on me dise NON. NON car on ne savait pas où me diriger après le collège sur ce que j'aimais faire : "Ah tu aimes la déco, c'est bien ! Mais.. j'y connais rien" ou le "Ah c'est bien, tu sais ce que tu veux faire déjà, mais tu vas faire quoi comme Bac ?" NON car je n'avais pas une moyenne assez élevé aller où je veux : "Ah mais c'est bien 16, mais nous nos élèves ils ont 18 pour ce Bac" ou "Ah tu n'as que 16, essaye de revenir quand tu auras 18 en 2nd dans ce cas" Du collège jusqu'au lycée, on n'a pas su me guider, m'aider ou m'accompagner vers là où je voulais aller. J'ai du faire mon chemin à moi, trouver des solutions allant jusqu'à X, Y voir même Z en cas où ça me marchait pas. Mais aujourd'hui, je ne regrette rien ! Je ne regrette pas les choix que j'ai fais pour arriver là où j'en suis. Je ne regrette pas d'avoir mis des jours et des jours pour enfin trouver ma voie. Je ne regrette pas d'avoir acquérir des compétences comme une autonomie et une ambition hors paire. Oui je ne regrette pas le temps passé à mettre pris des NON en pleine face, pour aujourd'hui être heureuse de ce que je fais. Alors oui, tu qui te pose un millier de question sur ce qu'il en est de ta vie, de tes études, de ton futur ; ne lâche rien ! Car même si ça m'est du temps, un jour tu souriras en voyant tout ce que tu as accomplit sans l'aide de personne.
Tout d'abord, il faut savoir que le DCG est un dilplôme d'état. La session d'examens est en mai/juin et il n'y a pas de rattrapages. Lorsque je suis arrivée en DCG, je venais de sortir de 6 mois de vacances, vu que j'avais arrêter la fac de médecine au bout d'un semestre. J'étais donc très motivée pour recommencer à nouveau mes études. Les premiers mois étaient compliqués, venant d'une filière scientifique, je n'avais jamais fait de comptabilité ni de droit. Mais on s'adapte vite et les compétences acquises pendant le lycée (en filière scientifique) ont permis d'avoir des facilités dans certaines matières comme le Système d'Information et Gestion. Le rythme de travail était soutenu (mais après la médecine je me sentais en vacances), des contrôles hebdomadaires, du travail à la maison etc. comme au lycée avec des nouvelles matières. Cependant, nous avions un accompagnement de qualité et nous étions plus que prêt pour passer les examens à la fin de l'année. La deuxième année était la plus compliquée en raison de deux matières de droit à passer (cela peut varier selon les établissements). Ainsi, j'ai travaillé tout au long de l'année et les examens se sont bien passés malgrè le stress. La troisième et dernière année était la plus intéressante avec la rédaction du rapport de stage, les professeurs sont à l'écoute et passent beaucoup de temps à nous conseiller sur sa rédaction. Ainsi, il y avait une pression supplémentaire du fait du délai, les rapports de stage étaient à rendre en mars (40 pages). Cette année je m'étais également investie dans l'association des étudiants de notre école, cela nous a permis de renforcer les liens dans la filière et montrer aux plus jeunes les différentes possibilités après le DCG, car le DSCG n'est pas la seule option (sauf si on veut devenir expert-comptable). Une fois les examens écrits passés, il y a eu l'oral du rapport de stage devant un professeur et un professionnel. Cette épreuve fait paniquer plus d'un, mais, en règle générale, elle se passe bien. L'attente jusqu'à fin août était interminable pour les résultats au DCG, mais mon travail a porté ses fruits et j'ai obtenu mon diplôme.
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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