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De la prépa éco à la fac de lettres (LEMA)

Juliette Zanetta
article De la prépa éco à la fac de lettres (LEMA)

Pourquoi la licence LEMA ?

J'ai d'abord vue une conseillère d'orientation au cours de ma classe préparatoire en économie. Ma filière ne me convenait pas. Elle m'a suggéré de me renseigner sur les licences de lettres modernes au vue de mon profil. J'ai alors fait le tour de toutes les licences parisiennes. Le programme en lettres modernes avait l'air intéressant, mais il manquait un petit quelque chose pour me donner envie d'y aller les yeux fermés. Je suis alors tombée sur la licence LEMA (Lettres Edition Medias Audiovisuel) qui m'a tout de suite plu. L'idée d'avoir des cours professionnalisant était très intéressant, ça permet une première approche des métiers possible à l'issue de la licence, voire du master.

Les débouchés ?

J'aimerai beaucoup poursuivre mes études pour devenir journaliste. Avec la licence LEMA je peux tenter les concours d'école de journalisme, le CELSA, des master en audiovisuel... Cette année, nous apprenons à écrire des articles, des brèves, des éditos. Les travaux sont très diversifiés. Mais le plus intéressant est que je peux essayer d'autres options pour me faire une idées des métiers comme pour l'édition, la communication...

Entrée directement en deuxième année de licence

Le plus difficile a été le fait que je rentre en deuxième année de licence directement. C'est super car je n'ai pas perdue une année à recommencer la licence dès le début, avec tous les élèves de première année qui sont bien moins sérieux qu'en deuxième année. Cependant, il a fallut que je travaille deux fois plus pour rattraper le programme de première année. C'est là où mon année de prépa m'a été très utile. J'ai pu m'organiser de telle sorte à valider mon premier semestre sans trop de soucis.

La motivation et l'organisation

Je pense que ma plus grande qualité a été le fait que j'étais très motivée. Arrivée directement en deuxième année, j'étais un peu perdue. J'ai redoublé d'efforts pour ne pas être à la ramasse. Encore une fois, l'organisation et la motivation m'ont permis de valider mon premier semestre. On ne peut pas dire qu'avec 16h de cours par semaine on soit débordé, mais c'est un piège ! Il ne faut pas trop se dissiper et travailler régulièrement, même si on peut être tenté de ne plus faire grand chose.

Une ancienne de classe prépa éco en fac de lettres

Je pense que le fait que je sois arrivée en deuxième année directement me permet d'avoir une bonne vision de ce qu'est la licence. Je n'ai pas eu à passer par la phase de la L1 qui peut être un piège. En sortant du lycée et en arrivant directement dans l'environnement ultra libre qu'est la fac on peut facilement se laisser distraire et donc ne pas valider son année.


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