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Welcome To The Ballroom - Tome 1 - TAKEUCHI Tomo

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      Les meilleurs avis sur Welcome To The Ballroom - Tome 1 de TAKEUCHI Tomo Format Tankobon < - Livre Manga

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      Présentation Welcome To The Ballroom - Tome 1 de TAKEUCHI Tomo Format Tankobon

       - Livre Manga

      • Auteur(s) : TAKEUCHI Tomo
      • Editeur : Noeve
      • Saga : Welcome to the Ballroom
      • Langue : Français
      • Parution : 25/06/2021
      • Nombre de pages : 208
      • Expédition : 160
      • Dimensions : 17.4 x 11.9 x 1.8

      Résumé :
      Collégien, Tatara Fujita n'a ni talent ni passion et ne sait pas quoi faire de sa vie. Le hasard et une bande de caïds mal intentionnés l'amènent à rencontrer Kaname Sengoku, un danseur professionnel qui l'attire dans un studio de danse de salon. Tatara y découvre l'univers de la danse sportive.

      Critique:
      Chronique 2 :

      Après s'être joliment lancées dans le manga fin 2020 avec le récit de science-fiction Spe-Ope (ayant marqué le retour en France du célèbre Kia Asamiya) et surtout avec l'envoûtant et unique Veil qui a su conquérir son public, les éditions Noeve Grafx ont assurément su se tailler une jolie place en tant que nouvel éditeur, au fil d'une année 2021 qui les a vues lancer des oeuvres aussi diverses que variées et qui étaient parfois très attendues. Ainsi, les "licences à animes" un peu otaku sur les bords comme Arrête de me chauffer, Nagatoro, Miss Kobayashi's Dragon Maid ou A Certain Scientific Railgun côtoient déjà, dans ce jeune catalogue, des récits d'action plus standards mais éventuellement sympathiques (Soul Liquid Chambers, Le Grimoire écarlate...), ainsi que des oeuvres résolument plus personnelles et magnifique, à l'image d'Une brève histoire du Robo-Sapiens, Don't call it Mystery ou tout récemment A Tail's Tale, ces deux dernières ayant même marqué le retour dans notre pays de deux très grandes mang akas en Yumi Tamura et Mizu Sahara. Et tandis qu'encore en cette fin d'année, un paquet de titres assez différents sont attendus chez l'éditeur, le mois de juin dernier a également été sublimée par l'arrivé d'un manga qui était espéré en France depuis des années, mais qu'aucun éditeur n'avait encore osé publier (sans doute à cause de son sujet de niche, ou de son rythme de publication japonais devenu très lent suite aux soucis de santé de son autrice, cette dernière faisant néanmoins tous les efforts du monde pour poursuivre son oeuvre, chose dont on ne peut que la remercier).

      De son nom original Ballroom e youkoso, Welcome to the Ballroom est une oeuvre qui fut sans doute grandement popularisée à l'international par son adaptation animée très réussie, produite par le studio Production IG. en 2017, et diffusée dans la foulée chez nous sur Amazon Prime Vidéo. mais à l'origine, il s'agit du tout premier (et seul à ce jour) manga de Tomo Takeuchi, qu'elle poursuit depuis 2011 au sein du Gekkan Shônen Magazine de Kôdansha (magazine également connu pour les séries Noragami, Your lie in april, Beck ou encore The heroic Legend of Arslan, entre autres).

      Ici, tout commence par une première page pleine de verve puisque l'on découvre, en pleine finale du championnat d'Angleterre de danse sportive, un jeune homme japonais en train d'éblouir le public et le jury alors qu'il était inconnu au bataillon il y a peu. Tatara Fujita, puisque c'est son nom, est en train de se faire un nom sur le sol de la légendaire salle de bal de Blackpool ! Et quelque temps avant cela, personne n'aurait sûrement cru ça, puisque Tatara était, à l'origine, un collégien on ne peut plus lambda: plutôt chétif et effacé, n'ayant aucun rêve ou passion dans la vie et étant donc incapable de changer à cause de ce manque, il est même régulièrement brimé par une bande de loubards, et n'a absolument aucune idée de l'orientation scolaire à se donner en vue du lycée. Mais tout va changer pour lui le jour où un motard le sauve de la bande de loubards, avant de l'emmener jusqu'à une méconnue école de danse de salon, le studio de danse Ogasawara. Le motard nommé Kaname Sengoku a beau être avenant, la réceptionniste Tamaki a beau être jolie, et il a beau retrouver en ce lieu sa camarade de classe Shizuku Hanaoka, le jeune garçon se demande bien ce qu'il fait là... du moins, jusqu'à voir sa sérieuse camarade de classe devenir une tout autre personne en dansant avec splendeur, puis en matant une vidéo de Kaname en pleine représentation dans un concours sous des salves d'applaudissements. Tatara est alors comme happé par ce qu'il voit, par toute la verve que dégagent ces danseurs sur qui se focalisent toute l'attention et l'admiration... Et il a beau peiner à l'assumer sur le coup car la danse de salon est quelque chose sur laquelle on peut avoir des préjugés, l'adolescent le sent: il veut faire la même chose. Apprendre à danser, encore et encore, jusqu'à atteindre les sommets. C'est le début de la passion qui lui manquait tant dans sa jeune vie...

      Jouant bien son coup avec ces toutes premières pages d'introduction où Tatara brille en Angleterre, Tomo Takeuchi nous stimule bien pour ensuite découvrir de plus belle tout le parcours qui va amener notre héros jusque-là. Et bien évidemment, tout commence par sa découverte de l'école de danse Ogasawara, où il lui faudra tout d'abord progresser à son rythme en apprenant les premières bases, et non sans avoir réglé rapidement les considérations financières des cours avant. Ce premier volume se veut donc assez didactique en nous faisant appréhender, en même temps que le personnage principale, les bases de la danse de salon et de la danse sportive: l'importance de la posture, la maîtrise et la bonne connaissance de son corps, les mouvements et pas de base, les différents types de danse... sont des choses que la mangaka esquisse avec d'autant plus d'application qu'elle-même est une adepte de danse et connaît donc bien le sujet. Et ainsi, entre les quelques autres mangas de danse parus en France (on pense notamment à l'élégant En Scène! centré sur le ballet et la danse classique, ou au magnifique Subaru, danse vers les étoiles! où la danse cristallisait toutes les émotions humaines fortes de l'héroïne comme un exutoire), Welcome to the Ballroom vient d'emblée trouver une place de choix en s'intéressant, avec une profonde immersion, à des styles de danse encore différents.

      Mais si la lecture est d'emblée aussi efficace, c'est également pour deux autres points, dont le premier n'est autre que la verve que dégage en permanence le récit. Cette verve, on la doit à un rythme soutenu mais jamais brouillon qui fait très vite décoller les choses (jusqu'à faire brûler des étapes à Tatara en toute fin de tome sans que ça choque le moins du monde), mais surtout à la passion qui naît en cet adolescent qui, encore peu de temps avant, n'avait aucun rêve. Bon, en tant que collégien, il a forcément quelques petites motivations supplémentaires inavouées et gentiment amusantes, qui résident surtout dans la beauté hypnotique de Shizuku, camarade de classe si sérieuse et discrète en cours, mais qui se transforme totalement quand elle danse et se lâche. Mais une passion plus authentique naît bel et bien en lui, et on ne cessera de le comprendre en le voyant s'entraîner sans relâche (toute une nuit, même)... jusqu'à, peut-être, déjà laisser entrevoir un don ? Car le jeune garçon a beau avoir tout à apprendre de cet univers, commettre des maladresses et être parfois franchement nul comme peut l'être un débutant total, son entourage et le lecteur voient bien à quel point il peut également être déjà capable de véritables fulgurances qui nous saisissent tout de suite.

      Quant à l'autre point rudement efficace, ils 'agit évidemment des dessins, qui sont déjà aux petits oignons. Non contente de maîtriser l'anatomie, les mouvements et l'expressivité de ses personnages, et d'offrir des décors vraiment immersifs quand il le faut; Tomo Takeuchi livre également une science du découpage et des angles de vue qui vise à nous emporter dans l'univers de Tatara en totale immersion. La mangaka peut se focaliser sur un élément (l'oeil passionné de Tatara en gros plan, par exemple) tout comme elle peut nous proposer des vues plus amples, mettre en lumière ses danseurs en plein pied, jouer sur les onomatopées pour accentuer l'intensité d'un moment... Bien sûr, l'oeuvre n'en est qu'à ses tout débuts en matière de représentation de la danse, mais déjà la dessinatrice affiche des ambitions fortes, aussi fortes que la passion qui naît en son personnage principal.

      Welcome to the Ballroom ne fait que commencer ici, et quiconque a vu l'adaptation animée sait déjà à quel point l'oeuvre gagnera encore en puissance sur la longueur. Mais dans ses débuts, la série de Tomo Takeuchi nous happe déjà très largement, portée par son rythme qui ne nous lâche pas, par ses envolées visuelles, par le parfum de passion qui transpire déjà.

      Et pour l'édition française, Noeve Grafx a, comme d'habitude, pris soin de concevoir une fabrication originale, portée ici par une jaquette qui bénéficie d'un très bel effet toilé et qui est rehaussée d'un vernis sélectif sur le logo-titre. On retrouve avec plaisir Ryoko Akiyama à la traduction, toujours aussi douée pour offrir un travail fluide et vivant. le lettrage est lui aussi très propre, tandis que le papier est souple et sans transparence et que l'impression est convaincante. Enfin, on retrouve les petits à-côté typiques de l'éditeur avec l'insert, le bandeau et la carte à collectionner (évidemment à l'effigie de Tatara pour ce premier volume).


      Chronique 1 :

      Lancé en 2011, le manga Welcome to the Ballroom (ou Ballroom he Yôkoso de son titre original) nous intrigue depuis de longues années. L'année charnière fut celle de 2017, qui correspond à la diffusion de la série animée produite par le studio Production I.G, sous la direction de Yoshimi Itazu. Disponible dans nos contrées via Amazon Prime Video, cette mouture nous a non seulement permis de découvrir l'histoire, sa belle panoplie de personnages, mais aussi une esthétique aussi élégante que propice à de délicieuses séquences nerveuses. Dès lors, difficile de ne pas attendre fermement l'oeuvre d'origine. Seulement, les mois et les années passèrent sans qu'un éditeur ose se mouiller... Du moins, c'était le cas jusqu'à fin 2020, Noeve annonçant alors l'acquisition des droits de la série pour une parution initialement près fin mai 2021. Légèrement décalée, celle-ci a finalement lieu le 25 juin, en ce qui concerne son premier opus.

      Le manga a vu le jour le 5 novembre 2011, au sein du mensuel Shônen Magazine de l'éditeur Kôdansha. Il s'agit là de la première série de l'autrice Tomo Takeuchi, et une belle occasion pour elle sa superbe proposition graphique. Néanmoins, la parution s'est avérée compliquée aux alentours du sixième tome, le délais entre les volumes s'élargissant à chaque fois un peu plus. En cause : Les soucis de santé de la mangaka. Pourtant, l'artiste semble mettre tous ses efforts dans la conception de son oeuvre qui avance doucement mais sûrement. Preuve en est le 11e opus paru en avril dernier (au Japon), un peu moins d'un an et demi après le précédent.

      Welcome to the Ballroom, c'est l'histoire du jeune Tatara Fujita. En fin de collège, ce dernier n'a strictement aucune idée de ce qu'il veut faire dans la vie, ce qui impacte ses choix d'orientation. Plutôt chétif et timide, il est aussi la tête de turc de quelques loubards du coin, ce qui n'égaie pas franchement son quotidien. Les choses commencent à changer quand il méprend sur une de ses camarades d'établissement, la jolie Shizuku, qu'il pense dans le même cas que lui. Mais il n'en n'est rien : Par un concours de circonstance, un homme du nom de Sengoku lui sauve la mise des racailles du coin, et l'emmène de force dans une salle où se pratique la danse de salon. Tatara découvre alors que Shizuku est une membre qui concours lors de compétitions sportives, tandis que Sengoku est lui-même un talent mondial de la discipline. Visionnant des images d'archive de la victoire de ce dernier, Tatara a un déclic : Il veut changer et se tenir aussi fièrement que le champion, lui qui n'est pourtant qu'un chétif collégien. Malgré les modestes moyens financiers qu'a à sa disposition l'adolescent, il est prêt à tous les efforts pour nourrir cette passion émergente.

      Ce premier volume ne trahit pas l'une des formules possibles pour un manga sportif. Car c'est bien de sport dont il est question, à travers cette thématique de la danse de salon hautement compétitive. L'histoire est donc celle du jeune Tatara, un adolescent sans réelle qualité ni but. Forcément, c'est bien dans la danse sportive que le garçon va trouver une forme d'épanouissement, tandis que ses débuts seront tantôt maladroits, et tantôt signe d'un petit talent chez le concerné. Pour le lecteur (tout comme pour la protagoniste), c'est d'abord cette découverte de la pratique qui ébahit, et ce avant tout par sa représentation graphique. Tomo Takeuchi fait siens des différents style avec une énergie graphique folle, et parfois même une sensualité envoutante et enivrante. La mangaka a une patte bien à elle qui met en exergue la nervosité des prestations, preuve d'une autrice passionnée par son sujet. C'est d'ailleurs de son propre aveu, puisqu'elle admet, via ses quelques mots sur le rabat de tome, qu'elle rêvait d'être mangaka avant de délaisser cette ambition pour la danse de salon. Le destin a parlé : Ses deux rêves sont aujourd'hui combinés, ce malgré ses soucis de santé.

      Et outre la force graphique de ce premier opus et sa manière d'explorer un univers qui pourra s'avérer curieux pour le lecteur, c'est par ses personnages que les débuts de Welcome to the Ballroom trouvent une certaine force. Tatara a beau être un héros de manga sportif très classique, ceux qui gravitent autour de lui nourrissent notre intérêt. On s'attache aussi bien à Shizuku et ses gestes de dense si envoutants qu'à son binôme, l'énigmatique Hyodo. A eux deux, ils mettent en exergue une dimension forte, à savoir le fossé esthétique entre l'humain et la figure sportive. Les deux jeunes gens sont méconnaissables une fois maquillés, coiffés et affublés de leurs tenues de danse, une belle manière d'appuyer tout l'impact lié à l'apparence. Et pour en revenir brièvement au dessin, toute la gestuelle majestueuse qu'implique la pratique trouve une belle représentation dès ces débuts. On est alors attirés aussi bien par le sport que par ses pratiquants, ce qui créer une fascination toujours plus grande chez le lecteur, à l'instar de son héros.

      Le récit fait donc fort dans sa manière de mêler ces aspects subjuguants à une intrigue qui, prise avec recul, ne cherche pas spécialement à innover son genre. Le héros est d'ailleurs une figure très classique, a priori dépourvue de talent mais qui finira tout de même par montrer une force indéniable. Il évolue au milieu de danseurs chevronnés, et sera rapidement propulsé dans une première compétition, ce qui amène une fin de volume surprenante et qui créer une forte impatience à l'idée de découvrir la suite du récit.

      Les qualités de Welcome to the Ballroom, ou du moins de son premier tome, sont donc nombreuses. Derrière un manga sportif somme toute classique se cache un récit centré sur une pratique méconnue et croquée parfaitement par une autrice qui semble maitriser son sujet. Le thème est donc fascinant, et superbement représenté visuellement. Si le titre attirait les curieux, ce n'est pas pour rien. A noter d'ailleurs que les plus impatients peuvent se plonger dans l'adaptation animée qui couvre la plupart des tomes disponibles au Japon, une découverte qui n'empêchera pas de vouloir découvrir la suite de l'oeuvre originale, bien au contraire, tant le talent de Tomo Takecuhi mérite d'être apprécié sur le papier.

      Côté édition, on attendait forcément Noeve au tournant tant le jeune éditeur de mangas met un point d'honneur dans la fabrication de ses ouvrages. Concernant Welcome to the Ballroom, la maison fait fort avec une couverture profitant d'un papier à l'effet toilé original (officiellement nommé « papier Fedrigoni Constellation Fiandra »), celui-ci étant appuyé par quelques touches de vernis sélectif. Ceci couplé à la bonne adaptation graphique de Kévin Druelle et à la traduction juste de Ryoko Akiyama, et on obtient une édition qui ne manque pas de panache.

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